A propos de

 

 

Elie MAALOUF, Pianiste, compositeur, un musicien sans frontières né en 1972 au Liban. Il intègre l’Institut de musique et d’arts techniques de Beyrouth puis, dès 1989, les Conservatoires de Toulouse et de Paris où il travaille sous la houlette du pianiste Billy Eidi.

Il s’inscrit ensuite à « l’American School of Modern Music de Paris » pour y étudier le jazz, l’arrangement et la composition avant de rejoindre l’atelier Jazz du vibraphoniste David PATROIS puis le cours de Bernard MAURY, fondateur de la « Bill Evans Piano Academy ».

Cette soif de connaissance et de maîtrise le pousse vers les master-class des grands musiciens de jazz tels que Gary BURTON, Clare FISHER, Marc LEVINE, Jon FADDIS et le fameux Michel PETRUCCIANI.

Inscrit à la fois dans le patrimoine oriental, la musique classique et le monde du jazz et de l’improvisation, Elie MAALOUF s’est forgé un répertoire exceptionnel qui soulève l’enthousiasme des mélomanes les plus exigeants, lors de ses concerts en Europe, Amérique, Asie, Afrique et Moyen-Orient.

Ses collaborations l’ont mené dans plus de 30 pays Il s’est produit dans de prestigieuses salles telles que: Salle Pleyel, Salle Gaveau, La Cité de la Musique, Radio France, Théâtre de la Monnaie à Bruxelles, Teatro Regio à Milan…

Il collabore à différents projets de scène et d’albums avec des artistes tels que: Sœur Marie Keyrouz, Abed Azrié, Issa Hassan, le tromboniste Geoffroy de Masure, les saxophonistes Joshua Levitt et Emmanuelle Somer, le contrebassiste Hubert Dupont, l’auteur et chanteur Yvan Dautin, l’accordéoniste David Venitucci . Il composa la bande originale du film « Pari(s) d’exil » du réalisateur et comédien Zirek.

Portant en lui une vraie double culture, sachant harmoniser les mélodies orientales avec subtilité, il est sollicité pour accompagner plusieurs vocalistes du Moyen-Orient telles: Sœur Marie KEYROUZ, Fadia EL HAGE, Jahida WEHBE, Samih CHOUKAER, Abed AZRIÉ, Manal SEMAAN, Nida ATES…

En 2008 sort son disque “Through Life” enregistré avec son quintet. “Un album singulier, un univers d’une grande finesse teinté d’Orient et de jazz”. Cet Album a été salué par la presse et se voit décerné trois étoiles par le magasine “Jazzman”.

En plus du piano, il joue de plusieurs luths traditionnels à manche long et de multiples percussions. Il a collaboré avec des amis luthiers au Liban pour remettre à jour « le buzuq », un luth à long manche du levant qui vient de la tradition populaire et qui est joué par les nomades et les kurdes de la région.

Cette passion l’a conduit à concevoir un projet de concert- conférence autour de cet instrument qu’il présente de manière complète: son historique, sa lutherie, ses interprètes.